Les Secrets de la Tara Blanche

Questo libro ci presenta degli estratti di un carteggio di eccezionale valore, tenuto, negli anni 1935-45, fra Jean Reyor (1905-1988), amico e “persona di fiducia” di René Guénon, e Jean Calmels, misterioso personaggio noto come “il lama” e indicato dallo stesso Reyor come « un individuo che aveva avuto relazioni dirette con diverse scuole orientali » e che possedeva « una vasta conoscenza di cose di ordine iniziatico ». Effettivamente, come ci rivela nell’introduzione Alexandre de Dánann (l’autore di Mémoire du sang), Calmels era stato iniziato da Wlodzimierz Badmajeff, uno dei membri del lignaggio mongolo buriato dei Badma, principi ereditari, discendenti di Gengis Khan, nonché lama che esercitavano la medicina tibeto-mongola, iniziati al Kâlachakra. Questo carteggio è stato fino ad oggi gelosamente custodito nel ristretto ambiente guenoniano, il che non gli ha però impedito di essere sfruttato da alcuni autori che ne hanno fatto a volte un vero abuso. “Superiore Incognito” dell’Ordine Martinista in gioventù, Jean Calmels parla, molti anni dopo, in termini enigmatici e profetici, di quest’ultima fase del Kali Yuga, rivelando aspetti dottrinali tradizionali all’epoca ancora mal conosciuti in Occidente e riguardanti zone geografiche che sono divenute il teatro degli avvenimenti critici di questi ultimi tempi. In questo carteggio e nel ricco apparato critico che lo accompagna si tratta, fra l’altro: del misterioso inviato del Dalai Lama in Occidente, Agvan Dorjeff; del Panchen Lama e del Bogdo Khan; di Gengis Khan e del simbolismo del suo stendardo; delle “Torri del Diavolo”; di Agarttha; di Shambala; del Kalki Avatara; delle profezie di Malachia e delle Centurie de Nostradamus; del simbolismo del “Grande Hum” e del “Namtchouwandan”; del prete Gianni, ecc. ecc. Completano l’opera un documento risalente al periodo martinista di Jean Clamels e uno studio inviato da Calmels a Jean Reyor nel 1944: Quelques remarques à propos de l’œuvre de René Guénon. Ce livre nous présente des extraits d’une correspondance de valeur exceptionnelle, entretenue, dans les années 1935-45, entre Jean Reyor (1905-1988), l’ami et la “personne de confiance” de René Guénon, et Jean Calmels, un mystérieux personnage connu comme “le lama” et indiqué par Reyor lui-même comme « une individualité ayant eu des rapports directs avec plusieurs écoles orientales », et ayant « une connaissance étendue des choses de l’ordre initiatique ». Effectivement, comme nous le révèle dans son introduction Alexandre de Dánann (l’auteur de Mémoire du sang), Calmels avait été initié par Wlodzimierz Badmajeff, l’un des membres de la lignée des mongols bouriates Badma, prince héréditaires, descendants de Gengis Khan, aussi bien que lamas pratiquant la médecine tibéto-mongole, et initiés au Kâlachakra. Cette correspondance a été jalousement gardée jusqu’à aujourd’hui dans le restreint milieu guénonien, ce qui ne lui a pas évité, toutefois, d’être exploitée et parfois “abusée” par quelques auteurs. “Supérieur Inconnu” de l’ordre Martiniste dans sa jeunesse, Jean Calmels parle, bien des années plus tard, en termes énigmatiques et prophétiques, de cette dernière phase du Kali Yuga, en révélant des aspects doctrinaux traditionnels, à l’époque encore mal connus en Occident, et en impliquant des zones géographiques qui sont devenues le théâtre des événements critiques de ces derniers temps. Dans cette correspondance, et dans le riche appareil critique qui l’accompagne, il est question, entre autres : du mystérieux envoyé du Dalaï Lama en Occident, Agvan Dorjeff ; du Panchen Lama et du Bogdo Khan ; de Gengis Khan et du symbolisme de son étendard ; des “Tours du Diable” ; de l’Agarttha ; de Shambala ; du Kalki Avatara ; des prophéties de Malachie et des Centuries de Nostradamus ; du symbolisme du “Grand Hum” et du “Namtchouwandan” ; du Prêtre Jean, etc. etc. L’ouvrage est complété par un document remontant à la période martiniste de Jean Clamels, et par une étude communiquée en 1944 par Calmels à Jean Reyor : Quelques remarques à propos de l’œuvre de René Guénon.